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En prenant conscience du lieu très intime de sa liberté, l'artiste se rend indépendant des influences extérieures. Il accède à ce que la tradition orientale appelle le "vide du cœur"...extrait de la révolution des avant-gardes de Philippe Sers. édition Hazan page 19.

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Je crois que lorque que l'on m'avait conseillé d'aller chercher l'inspiration dans une petite cachette au fond de mon cœur, un jour que j'avouais la peur de perdre mon imagination, on m'a montré un chemin.

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Plus tard j'a fait de la méditation Zen, mais toujours mon esprit était là.

Je n'atteignais pas le vide mental.

J'ai abandonné. Ce n'était pas une voie pour moi.

Je me suis mise alors à analyser mes dessins. Alors parfois après, j'avais la paix mental.

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